Born in Kabul, Afghanistan, Zalmaï left
the country after the Soviet invasion in 1980. He traveled to Lausanne,
Switzerland, where he became a Swiss citizen. Following his passion for
Photography, which he discovered very early in life, Zalmaï pursued
combined studies at both the School of Photography of Lausanne and at the
Professional Photography Training Center of Yverdon. In 1989, he began to work
as a freelance photographer, traveling around the world from Indonesia to
Egypt, from Cuba to the Central African Republic, and eventually returned to
Afghanistan, where he continues documenting the ongoing war and plight of the
Afghan people.
Zalmaï has spent most of his life between
Europe, the United States and Asia. His work has been published in several
magazines and newspapers, including the New York Times Magazine, Time Magazine,
Le Temps, Newsweek, and La Repubblica, while he has worked for a number of
International Organizations and NGOs, including Human Rights Watch,
International Committee of the Red Cross, UN Office On Drug and Crime, and the
UN Refugee Agency. He has exhibited around the world at museums, galleries,
universities and cultural centers and his work has earned him several
international awards, the latest being the Visa D'Or from the Visa Pour l'Image
International Photojournalism Festival and a grant by Getty Images.
Né à Kaboul, capitale de l’Afghanistan,
Zalmaï Ahad est contraint de quitter son pays en 1980, à l’âge de 15 ans, pour
fuir l’invasion soviétique. Il gagne Peshawar, au Pakistan, première étape de
son exil, avant d’atteindre Lausanne, en Suisse, où il obtient le statut de
réfugié, puis en 1994 la citoyenneté suisse. Grâce à sa passion pour
la photographie, il parvient à intégrer l’Ecole cantonale d’art de Lausanne
(section photographie) et le Centre d’enseignement de la photographie
professionnelle d’Yverdon.
En 1989, il commence à travailler en freelance et voyage autour du monde, s’intéresse au Tibet, aux réfugiés soudanais, à la Révolution cubaine et au sort des pygmées d’Afrique centrale après la déforestation de leurs zones d’habitation. Son œuvre est publiée dans plusieurs revues et quotidiens, tels que le New York Times Magazine, Time Magazine, Le Temps (Suisse), Newsweek, Vanity Fair, La Repubblica (Italie), ainsi que les publications du Comité International de la Croix Rouge (CICR), de Human Rights Watch et le magazine Réfugiés, une publication trimestrielle de l’UNHCR. Sa première monographie, Eclipse (Umbrage, 2002) traite du thème de l’exil et des conséquences du déracinement, de Cuba à l’Inde, du Mali aux Philippines, de l’Indonésie à l’Egypte.
L’originalité et la singulière force de son travail de photographe lui ont valu de nombreux prix nationaux et internationaux dont le World Press Joop Swart Master Class. Zalmaï est membre de l’Association Focale, un groupement de photographes basé à Nyon, en Suisse. Il vit et travaille actuellement entre New York, Kaboul et Genève.
Adepte habituel de la photographie en noir et blanc, Zalmaï explique dans « Retour, Afghanistan » pourquoi il a choisi la couleur pour ce projet: «J’ai senti que l’espoir était enfin au rendez-vous, que les couleurs étaient de retour et qu’elles seraient celles d’un Afghanistan enfin en paix. Et j’ai voulu aller à la rencontre de cet espoir, en introduisant, pour la première fois, ces couleurs dans mes photographies.»
A travers l’exposition et le livre « Retour, Afghanistan », Zalmaï rappelle au monde entier la détresse et le courage de millions de rapatriés et les besoins immenses de tout un peuple qui, à peine relevé de ses blessures, essaye de remettre son pays sur pied. Zalmaï dit : «Mon projet tente de capter la détermination et le courage d’un peuple qui a rarement connu la paix, son optimisme envers et contre tout et son extrême inquiétude de voir le pays retomber dans un cauchemar auquel il essaye encore aujourd’hui d’échapper.»
En 1989, il commence à travailler en freelance et voyage autour du monde, s’intéresse au Tibet, aux réfugiés soudanais, à la Révolution cubaine et au sort des pygmées d’Afrique centrale après la déforestation de leurs zones d’habitation. Son œuvre est publiée dans plusieurs revues et quotidiens, tels que le New York Times Magazine, Time Magazine, Le Temps (Suisse), Newsweek, Vanity Fair, La Repubblica (Italie), ainsi que les publications du Comité International de la Croix Rouge (CICR), de Human Rights Watch et le magazine Réfugiés, une publication trimestrielle de l’UNHCR. Sa première monographie, Eclipse (Umbrage, 2002) traite du thème de l’exil et des conséquences du déracinement, de Cuba à l’Inde, du Mali aux Philippines, de l’Indonésie à l’Egypte.
L’originalité et la singulière force de son travail de photographe lui ont valu de nombreux prix nationaux et internationaux dont le World Press Joop Swart Master Class. Zalmaï est membre de l’Association Focale, un groupement de photographes basé à Nyon, en Suisse. Il vit et travaille actuellement entre New York, Kaboul et Genève.
Adepte habituel de la photographie en noir et blanc, Zalmaï explique dans « Retour, Afghanistan » pourquoi il a choisi la couleur pour ce projet: «J’ai senti que l’espoir était enfin au rendez-vous, que les couleurs étaient de retour et qu’elles seraient celles d’un Afghanistan enfin en paix. Et j’ai voulu aller à la rencontre de cet espoir, en introduisant, pour la première fois, ces couleurs dans mes photographies.»
A travers l’exposition et le livre « Retour, Afghanistan », Zalmaï rappelle au monde entier la détresse et le courage de millions de rapatriés et les besoins immenses de tout un peuple qui, à peine relevé de ses blessures, essaye de remettre son pays sur pied. Zalmaï dit : «Mon projet tente de capter la détermination et le courage d’un peuple qui a rarement connu la paix, son optimisme envers et contre tout et son extrême inquiétude de voir le pays retomber dans un cauchemar auquel il essaye encore aujourd’hui d’échapper.»
All images © ZALMAÏ AHAD
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